Dans notre club on se voit de temps en temps, environ une fois par semaine. Dans ces conditions, il vaut meiux se reconnaître, et se connaître, le plus rapidement possible entre adhérents.
Les visiteurs de notre site, qui envisagent d'intégrer notre club photo, ont sans doute envie de réaliser dans quel nid de castars ils vont mettre les pieds. Ils souhaitent peut-être aussi savoir si ils vont y trouver quelques gais compagnons partageant qui le même matériel, qui les mêmes passions photographiques.
Ce sont les objectifs du trombinoscope et de cette fiche individuelle. Cette dernière se compose de trois sections:
En espérant vous voir bientôt dans cette rubrique, si vous n'y êtes déjà, pour faire plus ample connaissance.
Je suis tombé dans la marmite d’Instamatix quand j’étais petit….Puis vers 17 ans j’ai plongé dans la drogue dure : le reflex 24 x 36. J’ai sniffé d’autres activités dans ma vie, la reliure, la voile et le tir à l’arc. Toutes m’ont permis de découvrir des gens merveilleux et des techniques intéressantes. Mais la photographie est vraiment complète et a des facettes multiples : Techniques dans l’optique la chimie l’électronique, Artistiques (portraits, paysages, reportages, graphisme). En plus, certains photographes expriment une telle force humaniste dans leurs images.
On dit qu’une photo n’existe vraiment que si elle est montrée et partagée. Et, pour un photographe, avoir d’autres points de vue, sans prises de tête et sans déclencher de polémiques, c’est plutôt vital. Peut être cela me donnera le déclic pour acquérir un sens et une approche plus artistique.
J’aime bien la technique, et j’essaie de faire profiter de mes connaissances à travers les séances de formation et des discussions. C’est aussi plaisant de faire découvrir à d’autres quelques uns des très bons photographes de notre planète. Et puis je participe à la mise à jour de notre site ‘oueb’
Je pratique l’iconomécanophilie. Le mot résonne un peu la perversité. Mais c’est très inoffensif. Autrement dit, je collectionne de vieux appareils photographiques. Ceux des années cinquante à nos jours fabriqués par certaines marques japonaises. Pas de panique ce mal n’est pas transmissible.
Des boîtiers numériques Sony. Ils me permettent d’exploiter pleinement les objectifs Minolta de mes derniers appareils argentiques. De temps à autres, je ressors ces derniers pour exposer un film.
Un Fujica ST 701. A l’époque c’était le reflex le plus petit et le moins lourd (l’Olympus OM1 n’était pas encore sorti). C’était aussi le temps ou Fuji (la firme des films) était la seule à monter des cellules au silicium sur ses boîtiers. Et puis leurs objectifs avaient des traitements anti-reflets à onze couches par bombardement électronique (mis au point pour les jeux olympiques de Tokyo). Et…..
Pardon ! Pas transmissible certes, mais un peu lourd.
Le paysage, les détails graphiques, La photo d’architecture, En macro les fleurs seulement. Je ne suis pas fan du tout des petites bêtes à carapace chitineuse
Shinzo Maeda, paysagiste japonais
Les paysagistes anglo-saxons (Ansel Adams, Michael Kenna, Michael Busselle , Lee Frost, Freeman Patterson, etc…)
Certains reporters photographes de voyage français comme, Bruno Barbey, Xavier Zimbardo et Bruno Morandi.
Les photos nature de Vincent Munier et Tony Crocetta.
Et bien sur les photographes humanistes Sebastao Salgado, Willy Ronis, Izis, etc…
Ce n’est pas un piédestal qu’il me faudrait mais un podium !
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Ses albums flickr: Emargelion